Le New York Post recense plus de véhicules Uber que de taxis dans la métropole. A Paris, il y a un peu de marge.
Après le film Taxi Driver, Martin Scorsese pourrait envisager la suite : Uber Driver…
A New York, le nombre de chauffeurs qui exploitent l’application de mise en relation avec des passagers a dépassé le nombre de conducteurs de taxis.
Selon un décompte du New York Post, on recense 14 088 véhicules Uber dans les cinq arrondissements de la « Grosse Pomme » (Bronx, Brooklyn, Manhattan, Queens et Staten Island).
Tandis que le nombre de taxis jaunes circulant dans la métropole s’élève à 13 857.
Sachant que l’on peut combiner les deux statuts à travers le programme uberT : un chauffeur de taxis peut exploiter l’application Uber pour générer des revenus complémentaires. Dans ce cas là, le chauffeur de taxis n’est pas considéré comme un conducteur Uber.
Uber est présent à New York depuis mai 2011.
C’est la deuxième ville américaine visée par la société dirigée par Travis Kalanick qui exploite l’exploitation (la première étant logiquement San Francisco, où se situe le siège social).
Pour Business Insider, c’est aussi un relais stratégique pour Uber avec un volume d’affaires de 312 millions de dollars réalisé en 2013 au niveau local selon un document financier interne qui a fuité.
Tentons une comparaison avec la situation à Paris. Mais les données précises manquent à l’appel.
Selon Les Echos dans un article du 20 novembre 2014, Uber France recensait un parc global de 8000 VTC dans la capitale (estampillés Uber et ceux de la concurrence) contre 17 000 taxis.
Malgré les ennuis juridiques et judiciaires, la filiale française d’Uber se déclare prête à créer d’ici fin 2016 jusqu’à 80 000 activités de chauffeurs indépendants, rien qu’à Paris.
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