Vendredi, les chauffeurs de taxis se sont réunis en assemblée générale au Puy-en-Velay.
L’an dernier fut marqué par l’affiliation du Syndicat des taxis de Haute-Loire à la FNTI (Fédération nationale des taxis indépendants), une nouvelle organisation plus représentative que l’ancienne puisque de taille nationale, « on a eu toute une année pour mettre cela en place, ce fut beaucoup de rendez-vous avec les institutions », explique Thierry Jourde, le président.
Aujourd’hui, le syndicat compte plus de quarante adhérents, soit un tiers des taxis du département, et en grande partie des taxis ruraux.
La profession doit faire face à une nouvelle réglementation et de nouveaux équipements, telles des nouveaux lumineux, des imprimantes pour délivrer des notes pour chaque course.
Principale inquiétude, l’arrivée de gros trusts de transport qui se profile, d’où la nécessité de s’organiser pour ne pas se faire manger par de gros groupes.
« On sent que la profession est en train de muter. Nous avons le projet de nous regrouper pour pouvoir avoir un seul numéro et mettre nos compétences au service de ce groupement, le tout en laissant à chacun son indépendance. On voudrait mettre en place ce système avant l’arrivée d’une grosse concurrence ».
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