Source et suite de l'essai
jeudi 30 septembre 2010
Ford C-MAX & Grand C- MAX: Doublette gagnante ?
Source et suite de l'essai
mercredi 29 septembre 2010
Permis: les 12 points récupérables dans un délai de 2 ans
PARIS — L'Assemblée nationale a décidé mercredi en commission que l'intégralité des 12 points du permis de conduire serait récupérable au bout d'un délai de 2 ans, et non pas d'un an comme l'a voté le Sénat, le délai en vigueur étant de 3 ans, a-t-on appris de source parlementaire.
Le Sénat avait voté mi-septembre, dans le cadre du projet de loi sur la sécurité (Loppsi 2) et contre l'avis du gouvernement, plusieurs mesures d'assouplissement des règles sur le permis à point. Les députés UMP de la commission des Lois ont décidé d'atténuer en partie ces mesures.
"La version du Sénat n'est pas acceptable mais il faut trouver une solution plus réaliste" que la législation actuelle, a résumé le président de la commission des Lois, Jean-Luc Warsmann (UMP).
Pas de changement par rapport au Sénat pour les cas où le conducteur a commis une infraction entraînant le retrait d'un seul point: la restitution de celui-ci aura bien lieu dans un délai de 6 mois (au lieu d'un an aujourd'hui) à condition qu'aucune autre infraction n'ait été commise pendant ce délai.
En revanche, la commission des Lois de l'Assemblée a adopté un amendement du rapporteur UMP du texte, Eric Ciotti, proche du président Nicolas Sarkozy, prévoyant que la totalité des points pourra être restituée dans un délai de 2 ans (au lieu d'un an voté au Sénat et de 3 ans actuellement), également à condition qu'aucune infraction n'ait été commise pendant cette période.
"Il paraît préférable de ne réduire qu'à deux ans et non à un an ce délai", estime M. Ciotti.
La commission a adopté un autre amendement de plusieurs députés UMP, dont Philippe Goujon, qui autorise les automobilistes à réaliser un stage de récupération de points (4 points maximum par stage) par an contre un tous les deux ans actuellement.
"Cet amendement privilégie la pédagogie en répondant au double objectif de rester ferme dans la sanction des infractions routières et d'aménager la sévérité du dispositif actuel, qui donne lieu aux dérives de revente de points et de conduite sans permis", fait valoir M. Goujon.
Le député de Paris a finalement renoncé à un autre de ses amendements qui prévoyait la possibilité de suivre deux stages de ce type par an.
En commission, le député UMP Claude Bodin a plaidé pour un plus net assouplissement du permis à points en faisant valoir que "les gens ont le sentiment d'une chasse aux automobilistes, voire d'un racket généralisé".
Ces derniers jours, plusieurs réunions d'arbitrage sur ce dossier avaient eu lieu, notamment avec le chef de l'Etat.
Le projet de loi sera débattu en séance publique à partir de mardi prochain.
Source AFP
Les taxis passent à la couleur
Dans le cadre du protocole de mai 2008 passé entre la profession et les autorités publiques, la signalisation "libre" ou "occupé" des 16.623 taxis parisiens se simplifie. Le bloc "Taxi" actuel va progressivement être remplacé par un nouveau à double couleur:
vert = le Taxi est disponible,
rouge = il ne l'est pas.
D'ici à la fin 2011, tous les professionnels devront adopter cette nouvelle signalisation.
A noter : les taxis conserveront les trois lettres actuelles (tarifications A, B, C selon les horaires)
Source
mardi 28 septembre 2010
L'iPhone pour payer son Taxi
Un peu comme les 10 000 taxis de New York qui sont équipés du système de paiement PayWave de Visa, qui permet à un passager de simplement passer son iPhone devant un lecteur pour effectuer son paiement, la ville essaie maintenant de transposer le même système dans ses stations de métro.
Pour mener à bien son étude de faisabilité, le système n'a été installé que sur les 28 arrêts de la ligne longeant Lexington Avenue. Les passagers qui testent le système n'ont qu'à passer leur iPhone devant un lecteur et le tour est joué.
Le système PayWave de Visa à l'essai dans le métro new-new-yorkais pourrait également être testé dans d'autres grandes villes du monde, comme Paris qui serait considérée par Visa comme un bon endroit.
La ville de New York et ses transports sont donc maintenant en collaboration avec Visa pour permettre de remplacer les billets de métro par l'iPhone.
En plus des taxis et des transports en commun, Visa implantera peut-être son système PayWave dans les commerces de la Grosse Pomme.
lundi 27 septembre 2010
Les taxis dans le collimateur de la police
Mauvaise tarification, itinéraire rallongé, racolage, taxis clandestins… La police intensifie la lutte contre les abus de certains taxis.
La France compte près de 52.000 taxis répartis dans l’Hexagone, dont 17.000 à Paris. Pour combattre les agissements de certains chauffeurs peu scrupuleux, la police des taxis patrouille en permanence dans la capitale, de jour comme de nuit. On les appelle les « Boers ». Une brigade presque unique au monde. Face à l’augmentation des délits et des taxis clandestins, la patrouille a procédé à un important renforcement de ses effectifs. Elle compte aujourd’hui 70 agents alors qu’ils n’étaient que 12 il y a deux ans. Et 15 hommes supplémentaires seront bientôt opérationnels à l’aéroport Roissy – Charles-de-Gaulle.
Dans la ville la plus touristique du monde, la clientèle ne manque pas. Les arnaques non plus. Plus de 2.000 contraventions ont été délivrées cette année à l’encontre des taxis parisiens, en hausse de 11 % par rapport à l’an dernier. La police a ainsi enregistré une augmentation des délits de l’ordre de 20 % depuis janvier. Les voyageurs venus de province et les touristes étrangers représentent une proie de choix pour certains taxis indélicats : « Ils ne connaissent ni la ville ni la tarification en vigueur, certains chauffeurs n’hésitent pas à les escroquer », affirme Anne-Laure, membre des Boers. « Les clients font généralement confiance aux chauffeurs. Certains en profitent pour les abuser, mais la pratique reste marginale », nuance Jean-Claude Françon, président de la Fédération nationale des taxis indépendants.
Un phénomène qui se développe
Il est 15 heures. L’équipe des Boers s’élance à vive allure dans les interminables artères parisiennes. Ils opèrent en civil, incognito, principalement dans les lieux très fréquentés de la capitale, aux abords des hôtels, des gares et des aéroports. L’œil averti, la brigade est sur le qui-vive. Ils seraient près de 200 taxis clandestins à œuvrer dans la capitale, selon la police des taxis, et plus de mille selon un syndicat. Le phénomène semble pour le moment toucher principalement la capitale mais se développe également en province.
Leur tactique : racoler les clients et leur proposer des prestations « arrangeantes ». Les taxis clandestins n’ont aucun signe distinctif, ni luminaire, ni horodateur. Ce sont généralement des véhicules de « type camionnette », capables d’accueillir jusqu’à 10 personnes et propose des « forfaits » en fonction de la distance à parcourir. « Ils accostent les groupes de voyageurs en leur expliquant qu’ils payeront beaucoup moins chers qu’en prenant deux taxis », rapporte un agent de police. Mais prouver l’activité clandestine d’un taxi n’est pas une mince affaire. « Il faut le prendre en flagrant délit, indique le brigadier-chef Thierry, de la police des taxis parisiens. Ce qui nécessite parfois plusieurs heures de filature. »
Certains en font leur activité principale, quand d’autres assurent des fins de mois difficiles. « Il y en a même qui se sont reconvertis dans la pratique clandestine, confie un conducteur de taxi. Ils ont rapidement compris qu’il y avait de l’argent à se faire. » Pour autant, ces derniers encourent 15.000 € d’amende et jusqu’à un an de prison.
Refus de prise en charge
Il est 16 heures. Soudain, un taxi descend en trombe l’avenue Voltaire, snobant au passage une dizaine de clients lui faisant signe de s’arrêter. « C’est une infraction, prévient le brigadier Anne-Laure. Les taxis ont l’obligation de répondre à l’appel d’un client. » Le chauffeur est interpellé quelques dizaines de mètres plus loin et écope d’une contravention de 60 €. « Toutes les infractions sont signalées à une commission de discipline des taxis qui délivre des sanctions plus sévères », explique le brigadier-chef Thierry. Les peines encourues vont alors du rappel à la loi à la confiscation du véhicule. Elles peuvent éventuellement être assorties d’une peine d’emprisonnement. »
Travail dissimulé
Il est 20 heures. Un taxi arpente le boulevard Voltaire en dehors de ses heures de service. Pourtant, son luminaire est allumé, indiquant qu’il est en activité. Le conducteur prétend avoir déposé ses derniers clients depuis peu et avoir oublié de l’éteindre. Il écope d’une amende de 60 €. La commission de discipline le convoquera prochainement pour lui infliger une sanction administrative. « S’il est récidiviste, la sanction peut être très lourde », confie l’agent. Le chauffeur, un brin provocateur, reconnaît que la présence des Boers se fait davantage sentir qu’auparavant : « Lorsqu’ils étaient une dizaine, ils étaient facilement repérés. Aujourd’hui c’est plus compliqué ! » La nuit tombée, le travail d’investigation de la brigade ne s’arrête pas pour autant.
Taxis-motos
Il est 23 heures, la patrouille a prévu une « opération » à la gare de Lyon. « Certains chauffeurs viennent aborder les clients jusque dans la gare, en particulier les taxis-motos, alors qu’ils ne peuvent travailler que sur rendez-vous, explique le brigadier Jérôme. Parfois, ils s’entendent même avec le personnel de la SNCF pour qu’ils rabattent des clients en échange d’un bakchich ».
Au terminal des arrivées, des trains sont attendus d’une minute à l’autre. Dans la plus grande discrétion, les équipes de police se mettent en position. Sur le parvis, un voyageur se fait aborder par un taxi-moto. « Ce délit est aujourd’hui puni d’une amende de 300 € mais la pratique est assez répandue », indique l’agent Philippe. Le motard lui propose de le ramener chez lui, pour un montant de « 37 € ». Ils seront tout deux emmenés au commissariat pour être auditionnés, avant d’être relâchés quelques heures plus tard. « Si on veut qu’ils soient lourdement condamnés, il faut les interpeller à de multiples reprises, regrette le brigadier. A l’avenir, on gardera un œil sur lui. »
Source
LES TAXIS BLEUS RÉVOLUTIONNENT LA COMMANDE DE TAXIS EN LANCANT LA BORNE LES TAXIS BLEUS
Simple et rapide, la borne Les Taxis Bleus permet grâce à son écran tactile de réaliser une demande immédiate de taxi en quelques secondes et sans attente.
Sevran, le 27 septembre 2010. Afin de faciliter l’accès à ses services, Les Taxis Bleus, société leader de radio-taxi Grand Public en Ile de France, propose en exclusivité un nouveau canal de commande de taxis : la borne Les Taxis Bleus. Celle-ci est destinée à être implantée à l’intérieur des lieux fréquentés par le Grand Public.
Un nouvel outil moderne et innovant
Très simple à installer, cette borne dotée d’un écran tactile ne nécessite qu’une alimentation électrique et un accès sécurisé au réseau ADSL. Sa mise en place, sa gestion et son entretien sont pris en charge par Les Taxis Bleus. Les Taxis Bleus offrent également la possibilité de co-brander la borne.
Une offre gagnant / gagnant
Cette offre permettra aux professionnels de proposer à leurs clients et/ou visiteurs un service Plus.
Les demandes de taxi sont traitées en priorité, en quelques secondes, le temps de choisir son type de véhicule (berline, break, monospace, XL, véhicule haut de gamme), de préciser ses besoins (taxi conventionné, personne à mobilité réduite, animal de compagnie, canne blanche, place à l’avant, 4 personnes) et son moyen de paiement à bord. Le récapitulatif de la commande inclut le numéro de référence, le type de véhicule, le délai d’approche estimé ainsi que le point de rendez-vous avec le taxi.
Le petit Plus : L’édition du plan sur le ticket !
Source
Les Taxis bleus désormais disponibles sur l’iPhone
Les Taxis Bleus, société leader de radio-taxi Grand Public en Ile de France, lance la première application gratuite de commande de taxi. Téléchargeable sur l’App Store, cette application est disponible dans les catégories « voyage » et « style de vie ».
Il est désormais possible de réaliser sa demande et / ou réservation de taxi directement depuis son iPhone 24h/24 et 7j/7.
Très simple à utiliser, l’application permet de consulter et de gérer sa réservation de taxi. Il suffit de créer son compte puis de renseigner son adresse et son heure de départ. L’utilisateur peut également indiquer ses préférences (choix du véhicule, place à l’avant, 4 personnes) et sélectionner librement les services complémentaires proposés par Les Taxis Bleus : taxi conventionné, personne à mobilité réduite… Un taxi arrive dans les meilleurs délais.
samedi 25 septembre 2010
Un taxi londonien au Touquet
Un véhicule "singulier" attire mon regard lors de cette balade dans les rues du Touquet.
Vous l'avez reconnu ? Un de ces mytique taxi londonien, fabriqué à Coventry par la firme Carbodies. Cette société fabriquait, sur base de l'Austin FX3 puis FX4, ce véhicule exclusivement destiné à être un taxi.
Celui-ci est un FX4. C'est le modèle de 1958.
La société, appelée maintenant LTI Carbodies fabrique toujours des taxis, assez semblables à celui-ci, notament destinés au marché chinois.
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Avouez que ce taxi est parfaitement à sa place dans un tel environnement.
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