jeudi 15 juillet 2010

Entre chauffeurs et moto-taxis, ça devient explosif


Un chauffeur de taxi a été tabassé dimanche soir par des motards. Faute d’une réglementation, les deux professions ne peuvent plus se supporter.

La tension est montée d’un cran entre les chauffeurs de taxi et les motards qui transportent des passagers. Dimanche soir, devant l’aérogare ouest de l’aéroport d’Orly, un conducteur de deux-roues a frappé un chauffeur de taxi. Selon des témoins, l’automobiliste reprochait aux motards de faire du racolage auprès des voyageurs.
« Ce qui est complètement illégal, confirme une source policière. Les motards qui transportent des passagers ne peuvent le faire que sur réservation. »

Le chauffeur a le nez et des dents cassés

Le ton est alors monté légèrement avant qu’un des motards ne donne un coup de poing. « Tout s’est passé en quinze secondes, raconte un collègue de la victime. Ils étaient une dizaine. Après quelques échanges verbaux, on est partis. C’est à ce moment qu’un des motards s’est avancé et a frappé. Mon ami est tombé, un autre motard lui a donné un coup de pied puis tous sont repartis précipitamment sur leur moto. » Bilan : un nez et des dents cassés.
Une plainte a été déposée auprès de la police aux frontières d’Orly (PAF). Une qui devrait rapidement aboutir. Les nombreuses caméras de surveillance installées sur la plate-forme ont tout filmé. « On y voit parfaitement la scène, détaille une source policière. Nous avons également récupéré le numéro d’immatriculation de la moto sur laquelle le suspect s’est enfui. Il doit être entendu prochainement ».
Une agression qui ne fait que matérialiser le climat de tension qui règne entre les deux milieux professionnels depuis plusieurs années. « Les chauffeurs de taxi reprochent aux motos de ne pas avoir les mêmes contraintes et de travailler dans l’illégalité. Et les motos veulent pourvoir gagner leur vie », résume une source policière. Un climat explosif né d’un flou juridique qui entoure l’activité récente de moto-taxi.
Pourtant, en juin 2009, pour encadrer la profession, le avait voté la loi . Mais plus d’un an après, les décrets d’applications ne sont toujours pas sortis. « Nous sommes dans le temps administratif, regrette le député UMP Didier Gonzales. Il a fallu passer par le Conseil d’Etat. » Selon le député, la loi pourrait être promulguée rapidement, avant la fin de l’année.

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Beaux Livres : Taxi, un métier, des hommes

Alors que les transports en commun ont de plus en plus la cote dans les centres-villes des grandes métropoles et que les green cabs ou taxi verts font leur apparition, la prestigieuse maison d'édition E-T-A-I revient sur un mode de transport qui a plus de 100 ans.
La rédaction de ce bel ouvrage a été confié à Gilles Robert qui sait de quoi il parle puisqu'il a préparé nombre de futurs chauffeurs à l'examen du certificat de capacité professionnelle de conducteur de taxi dont il est lui-même titulaire.
Chaque année, les taxis transportent près de quarante-quatre millions de passagers. Ambassadeurs de leur pays, de leur région, de leur ville, ils ont l'honneur d'avoir un nom universellement connu et immédiatement compréhensible quel que soit l'endroit où l'on se trouve sur la planète.
Ce livre aborde une très grande variété de thèmes, des fameux taxis réquisitionnés lors de la Bataille de la Marne en 1914 aux voitures du futur qui permettent de réserver électroniquement des places de concerts, des billets d'avion ou une table de restaurant. C'est également l'occasion de découvrir tous les modèles qui ont jalonné l'histoire avec leurs spécificités, en apprendre plus sur les savoureuses expressions de la maison.
Vous deviendrez familiers des Boers, la police des taxis mais aussi des grands compagnies, du mode de recrutement des chauffeurs ou de l'évolution du fameux bandeau lumineux, bien plus simple à l'époque où il n'y avait que deux couleurs et non quatre comme aujourd'hui...
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dimanche 11 juillet 2010

Le pré carré des taxis attaqué



Une société avignonnaise fait de l'ombre aux artisans taxis. Ces derniers tentent de la faire interdire. Ils viennent de se faire débouter mais ont déposé un nouveau recours.


À Avignon
Nouveau coup de canif dans le monopole des taxis. Une société d'Avignon, Easy Take, exploite depuis le début de l'année une flotte de 20 Kangoo avec un concept de taxi low-cost: des courses à prix forfaitaires de 7 à 35 euros en fonction de la distance, de la publicité sur la carrosserie et sur un écran installé dans les appuie-tête, un centre de réservation par téléphone et Internet.
Le produit est attractif et a déjà séduit une large clientèle… au grand dam des artisans taxis. «Easy Take nous fait vraiment du tort. Notre activité a baissé de 30%», accuse Jean Capezza, président du syndicat des taxis d'Avignon. Ce dernier a saisi la justice pour «concurrence déloyale», mais il vient de se faire débouter. «Juste un problème de forme!», répond Me Patrick Gontard, son avocat, qui a immédiatement déposé un nouveau recours pour demander l'arrêt de l'activité de ce concurrent.
Les artisans taxis sont sur les dents depuis le rapport Attali préconisant la libéralisation du système. Cette profession est très réglementée depuis qu'en 1937, Marx Dormoy, ministre de l'Intérieur du Front populaire, a décidé de réserver à 14.000 taxis parisiens le «monopole de la plaque», leur donnant la possibilité de stationner sur la voie publique en attente de la clientèle. Ce devait être un régime d'exception pour sauver la profession mal en point au sortir de la crise des années 1930, mais il dure toujours.

Développement national

Mais depuis quelques années, la concurrence s'exacerbe. Il y a eu l'initiative d'Aziz Senni, un jeune de Mantes-la-Jolie qui a créé ATA, une société de taxi partagé, à la demande et à un tarif forfaitaire, contre laquelle les taxis se sont élevés sans succès. Les motos taxis se sont également multipliées. Et récemment, ce sont les sociétés surfant sur le concept de l'écologie qui sont apparues, comme Eco Cab à Paris. Ou encore le covoiturage offrant des courses à prix cassé.
Pour se lancer, Olivier Michel et Jean-Marc Sibade, les créateurs d'Easy Take, ont d'abord demandé une licence de petite remise au préfet qui la leur a refusée. «Nous avons une licence de transport et une licence d'exploitation de véhicules de tourisme avec chauffeur. Nous sommes parfaitement en règle et pouvons tout faire sauf la maraude et stationner sur les stations taxis», commente Olivier Michel. «Les taxis ont des règles qu'Easy Take ne respecte pas», s'emporte Jean Capezza. Pour ce dernier, «ils font de la petite remise avec une licence de transporteur public. Ils doivent ramener le client au point de départ, ce qu'ils ne font pas, et transporter des groupes». «Jean Capezza feint d'ignorer la nouvelle réglementation applicable depuis le 1er janvier 2010», répond Olivier Michel. C'est le tribunal qui les départagera. En attendant, Olivier Michel vient d'embaucher treize nouveaux salariés, portant ainsi son effectif à 73 personnes. Il compte ouvrir de nouvelles agences à Cavaillon et Orange et il est en négociation avec des investisseurs pour une levée de fonds dans le but de se développer au niveau national.

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Taxis: du nouveau à Villefranche-de-Rouergue

Cinq ans déjà que Sylvie Perry sillonne, depuis La Capelle-Bleys, les routes du Rouergue et d'ailleurs au volant de son taxi, à l'enseigne «Taxi Mahé».

Ce qui commence à faire un beau petit bail. Avec l'appui de Christian, son époux conjoint-collaborateur, les deux véhicules de la société couvrent un large territoire. Aussi, lorsqu'il y a deux ans et demi, Brigitte Costes lui a fait part de son intention de vendre sa licence basée à Villefranche, l'envie de développer la petite entreprise prit le dessus.

«Mais avant d'en être officiellement acquéreur, il fallait que j'atteste de cinq ans d'existence», explique Sylvie Perry. Or, la licence s'avérant disponible à la vente, le 26 mai, les cinq bougies d'existence n'avaient pas encore été soufflées. «Nous sommes donc passés par une période de location d'octobre 2009 à fin mai 2010», poursuit la responsable.

Le cheminement administratif pour ce type d'acquisition tient du parcours du combattant. Qui plus est lorsque celui-ci devient un peu plus parsemé d'embûches... «Pour acheter la licence, il faut qu'elle soit enregistrée lors d'une commission en préfecture, puis validée par la commune», poursuit-elle.

Le 29 avril, les services de l'État ont donné leur feu vert.Plus compliquée fut l'obtention de celui-ci de la part de la collectivité locale.

Avec pédagogie, le président de la Fédération nationale des taxis, M. Françon, a contacté le maire et les services municipaux afin de leur expliquer la réglementation. «Dans la mesure où la mairie ne pouvait pas faire de préemption, la propriétaire pouvait vendre à qui elle voulait»,résume Sylvie Perry.Et après une longue attente et bien des inquiétudes et autres prises de tête, cela aura été chose faite.

L'arrêté a été signé par le maire. L'emplacement attribué le n° 13 est situé place Jean Jaurès.

«Nous ce que nous voulons c'est travailler, insiste Sylvie Perry, et investir sur Villefranche est une suite logique dans notre démarche.»

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En voiture Simone, Pierre, Paul et qui voudra !

Les deux voitures de l'association AITT ont parcouru pas moins de 80 355 km en 2009 dans l'Entre-deux-Mers pour dépanner des personnes sans moyen de locomotion.

Assise près de la porte, Madame attend son chauffeur. Un certain Nestor, personnage haut en couleur, qui n'est à son service que ponctuellement dans le mois.

L'employeur de cet homme « en âge d'être retraité » n'est autre que l'Association intercommunale de transports transversaux (AITT). La solution idéale pour la Créonnaise de 75 ans, restée anonyme, transportée en cet après-midi de juillet à Bouliac, chez son podologue. Elle n'a pas le permis, ne peut déranger son amie conductrice à chaque fois, et serait bien embêtée si l'AITT n'existait pas. « Même si, c'est dommage, ils ne vont pas à Bordeaux », souligne la passagère.

Pas un taxi

Les deux véhicules floqués « Trans Gironde » avalent effectivement les kilomètres dans un périmètre donné. Celui qui couvre les deux Communautés de communes partenaires, du Créonnais et des Portes de l'Entre-deux-Mers. « Mais nous transportons les utilisateurs jusqu'à la Maison de l'emploi à Artigues, à la polyclinique des Quatre-Pavillons si besoin », commente la présidente de l'association, Nanou Franco.

Car cette « bouffée d'oxygène » a pour but de développer le transport public dans les zones rurales ou semi-rurales. « Attention, nous ne sommes pas un taxi, ni un service de transport privé. Si le trajet est effectué à la demande des usagers, on les regroupe en fonction des horaires et des destinations. On est moins souple qu'un taxi, mais pratique quand on sait que ces zones sont peu desservies par les transports en commun. » Voilà qui fait l'affaire de stagiaires sans moyen de locomotion, de salariés à temps partiel et à horaires décalés, de public à la recherche d'un emploi. « Le prix de 2 euros permet aux personnes aux petits revenus de se déplacer dans le secteur plus facilement. »

Partie de la famille

Et puis il y a aussi les personnes âgées. « C'est simple, je n'ai jamais appris à conduire. J'aurais peut-être dû », sourit Mme San Martin, en route pour Saint-Caprais où elle passera deux heures avec son mari en maison de retraite. Ensuite, Nestor reviendra la chercher.

Il les connaît bien ces passagers, ce Chilien d'origine. Avec son accent chantant, il pose des dizaines de questions. « On finit par bien se connaître. Mme San Martin fait appel à nous trois fois par semaine depuis cinq ans. On se raconte nos vies. On devient des confidents. Si je continue à travailler alors que je pourrais m'arrêter, c'est pour ce contact avec les gens. On fait partie de la famille. Tout en profitant de superbes paysages ! »

« Comment va votre frère ? » « Il est grand-père depuis un mois ! », répond la Créonnaise. Quand Nestor dit à Mme San Martin « à vendredi ! », elle est capable de le corriger pour lui rappeler que c'est Christophe prévu au planning. Lui sait quand elle a trop d'air, comment elle va à la vigueur de ses pas. « On rend plus qu'un service, concède Carole, responsable de l'équipe. On sort aussi de l'isolement. »

Alors quand Nestor fait son au revoir de la main en partant, il peut se dire qu'il est utile, oui. L'an dernier, l'AITT a d'ailleurs rendu 5 664 coups de pouce grâce à 2 673 courses partagées. Des chiffres en progression.

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samedi 3 juillet 2010

La FFTP veut placer la concurrence déloyale sous étroite surveillance

Direction Albertville, en Savoie, pour le 32ème congrès de la Fédération française des taxis de province (FFTP), qui s'est tenu le 22 et 23 mai derniers. De nombreux thèmes on été débattus ...

Notamment par le vice-Président de la FFTP Hervé Micalef (Oui, oui, c'est bien lui :D)
Hervé a insisté pour que l'invalidité au métier soit reconnu pour les licences acquises ...

Lire l'intégralité de l'article ici

Les taxis parisiens bientôt plus visibles des passagers

Une nouvelle signalétique lumineuse sur les toits, plus claire, devrait faire son apparition en 2011.

Les taxis circulant à Paris seront prochainement plus visibles des usagers. Selon la Préfecture de police de Paris, dans sa lettre hebdomadaire parue mercredi 30 juin, une convention relative à la mise en place d'une charte graphique pour les taxis parisiens a été signée par le préfet de police et les organisations professionnelles le 23 juin dernier. Elle prévoit notamment l'installation d'une signalétique lumineuse sur les toits des véhicules. Une lumière rouge indiquera que le taxi est occupé, une verte qu'il est libre.

A l'image des taxis jaunes de New York ou encore des Black Cab de Londres, Paris va, par ailleurs, bientôt avoir ses propres taxis, identifiables n'importe où dans le monde. La convention signée le 23 juin dernier prévoit notamment que les toits des taxis parisiens seront noirs, tout comme leurs montants.

Les passagers découvriront au plus tard le 31 décembre 2011 ces nouveaux taxis, selon le décret paru en août 2009. Chaque grande ville verra aussi l'apparition de taxis bicolores avec une couleur identifiante commune pour le toit et les montants.

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Chauffeur de taxi braqué : un an ferme pour deux femmes

Pour partir dans le Midi, un mineur et deux femmes avaient agressé, en août 2009, un chauffeur de taxi stéphanois en pleine nuit dans un coin désert du Bessy, près de Saint-Etienne.

Cheveux courts, petite taille, un visage poupin, on dirait un pré-ado chez le juge pour enfants. En fait, c'est une jeune fille de presque 20 ans et elle est dans le box des prévenus en correctionnelle. Elle comparait détenue depuis cette double affaire. La justice lui reproche d'avoir, le 5 août 2009, commis un vol aggravé quartier de la Terrasse à Saint-Etienne, en dérobant à un handicapé, avec violences, son sac et une chaîne en or. Faits commis avec un mineur, porteur, pour l'occasion, d'un pistolet.

Le second dossier date du 7 août. Vers deux heures du matin, un chauffeur de taxi stéphanois prend à son bord trois personnes dont l'une, à l'avant, encapuchonnée. Direction Le Bessy. C'est une fois arrivé dans ce secteur désert que l'homme comprend le traquenard. Là aussi il y a deux armes (on ne saura que plus tard qu'elles sont factices). Stoppé en pleine nature, il est frappé à coup de crosse ; il tente alors une fuite à toute allure sur la petite route. La femme lui intime l'ordre de s'arrêter « sinon je te tire une balle dans la tête »...

Arrivé dans un cul-de-sac, il s'enfuit à pied, avec sa sacoche, chute. Il est frappé à coups de pied, de poing, des coups attribués au mineur qui sera jugé prochainement. Encore me-nacé, il préfère se rendre. Il est dépouillé de sa recette (400 euros), de ses papiers et de sa voiture. On reproche ce second épisode à la jeune femme, Alison Nicolas, et à sa demi-sœur, Françoise Decroix, 31 ans et au fameux mineur une nouvelle fois dans le coup.

Hier à la barre, on a d'abord mesuré l'angoisse du chauffeur de taxi, toujours présente. On a appris que ces deux agressions avaient pour objet de trouver de l'argent pour rejoindre Toulon où se trouvait la famille en vacances. Du côté des prévenus, Alison a assumé sa participation mais nié avoir porté un coup. « Elle a été dépassée par une action collective » a dit Me Pibarot. Sa co-prévenue a affirmé qu'elle ne savait rien au départ des intentions des deux jeunes gens.

Son avocat Me Cizeron s'est attaché à évoquer un « contexte familial » sa cliente essayant tant bien que mal de prendre en charge deux ados attardés ayant poussé comme des herbes folles. « Ce sont deux faits très graves motivés par la volonté de trouver de l'argent pour les vacances. Le semi-échec de la première justifiera la seconde » a dit Mme Jamain procureur, avant de requérir 30 mois ferme. Le tribunal sera bien en deçà des réquisitions condamnant les deux femmes à 18 mois de prison dont 6 avec sursis.

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Avec l'office de tourisme, les taxis promeuvent la station - Blonville-sur-Mer


« Les taxis sont quotidiennement au contact de touristes, de la clientèle d'affaires, voire des résidents qui connaissent plus ou moins notre région, et ont des idées partielles du vaste potentiel touristique, remarque Emmanuel Tricoire, animateur à l'Union départementale des offices de tourisme. Au même titre que les offices de tourisme, ils sont des interlocuteurs privilégiés durant les transports pour décrire et vanter le patrimoine. »

Dons, l'Union départementale des offices de tourisme propose aux taxis un contact privilégié. C'est ainsi, que Céline Fourquet, directrice de l'office de tourisme de Blonville, a choisi Jacky Aimable, taxi à Villers « À chaque fois qu'il en aura besoin, Jacky viendra chercher de la documentation à l'office de tourisme, comme par exemple, le guide local ou le magazine touristique du Calvados ». Le tout sera rangé à l'arrière du siège conducteur, accessible aux clients.

Il y a à peu près 150 taxis sur le département, 60 ont déjà répondu favorablement. Ceux de Caen ont déjà été équipés en mars ; Blonville est équipé dès aujourd'hui, et la semaine prochaine, ce sera au tour de Deauville.

En échange, les offices de tourisme proposent aux taxis, un pass accueil, leur donnant accès gratuitement ou à tarif réduit pour environ 200 sites et prestations touristiques en Normandie.

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Chauffeur de taxi, un métier qui rapporte

Tous les chauffeurs de taxi ne sont pas grognons, n’en déplaise à la légende qui entoure cette profession.

Vous me direz, certains n’ont pas de raisons d’être désagréable, à l’instar de Don Pratt, un taxi driver des Cornouailles qui vient d’hériter de 250 000 livres sterling.

En effet, une ancienne cliente, Mary Watson, a légué l’intégralité de sa fortune à celui qui l’avait conduite dans Newquai durant plus de vingt ans et s’était montré si gentil avec elle.

Décédée à l’âge de 86 ans, la vieille dame a donc légué sa petite maison et son épargne au chauffeur de taxi qui vient de vendre son entreprise pour pouvoir couler une retraite tranquille à l’abri du besoin.

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Un chauffeur de taxi reçoit le pourboire de sa vie

Un chauffeur de taxi des Cornouailles a reçu le pourboire de sa vie, soit pas moins de 250.000 livres (environ 299.150 euros, ndlr), d'une cliente visiblement plus que satisfaite, rapporte ananova.

Mary Watson a en effet légué l'entièreté de ses biens au chauffeur de taxi Don Pratt et à sa femme, Gill. Celui-ci l'avait conduite dans Newquay durant vingt ans, rapporte la BBC. Elle est décédée, fin décembre dernier, à l'âge de 86 ans, laissant au couple sa fortune, soit une petite maison et son épargne, pour un montant total de 250.000 livres.

Don Pratt, âgé de 65 ans, a confié qu'il "essayait toujours d'aider les personnes âgées parce qu'un jour, on aura aussi besoin d'aide".
Madame Watson avait déménagé à Northampton il y a dix ans, mais était restée en contact avec le couple Pratt jusqu'à deux ans avant son décès.

"Son notaire nous a appelés pour nous dire qu'elle ne nous avait pas oubliés dans son testament. Je n'y croyais pas quand nous avons découvert qu'elle nous avait tout légué", explique Don Pratt.
Il a aujourd'hui vendu sa société de taxi à un ami et se prépare à une retraite paisible.

"Nous avons travaillé jours et nuits. Maintenant nous pouvons voyager et faire toutes ces choses que nous n'avons pas pu faire avant", a-t-il ajouté. (belga/cb)

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Volkswagen Jetta : la version hybride confirmée pour 2012

Après avoir dévoilé les détails de sa nouvelle Jetta, Volkswagen confirme une déclinaison hybride. La direction souhaite développer une stratégie à long terme pour ce segment.

La nouvelle Jetta fait coup double. Après avoir dévoilé les premiers détails de la sixième génération , Volkswagen confirme l’arrivée d’une version hybride, prévue pour l’année 2012.
Toscan Bennett, un des stratèges du géant allemand, a confié que son groupe prennait « très au sérieux l'électrification du secteur automobile » et qu’une stratégie à long terme est mise en place pour être de plus en plus présent sur ce segment. Il ajoute également que la Jetta hybride représente « la première étape ».

Volkswagen n’envisage pas encore de détrôner la Toyota Prius, mais plutôt de battre les performances d’une autre japonaise, la Honda Civic Hybrid. Pour cela, la marque allemande annonce une consommation de 5.8L/100km en ville et 5.2L/100km sur autoroute, contre 5.5L/100km pour la Honda. Le chiffre d’émission de CO²/km en revanche n’est pas encore connu.

Déjà très appréciée aux Etats-Unis, la Jetta marque des points supplémentaires avec cette version hybride. Il ne reste plus qu’à connaître son tarif pour connaître la stratégie de Volkswagen.

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