samedi 29 mai 2010
À Cholet, le taxi solidaire va redémarrer
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Boulogne : blessé à coups de couteau dans son taxi
Un différend au moment du paiement
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AUDI VA INTÉGRER LE WIFI DANS LA A8
Audi à senti le filon, les hotspots sont de nos jours présent un peu partout, il représente tout simplement la vitesse pour une mobilité confortable. De ce fait, la Audi A8 va bientôt se voir embarquer dans son antenne du toit, une « borne » wifi qui sera normalement sécurisé en WPA2. Si cela peux se démocratiser, des bornes mobiles peuvent pousser comme des champignions, pour le bonheur de nos appareils mobiles. La concurrence va surement réagir rapidement !
Tentative de meurtre contre un chauffeur de taxi clairvoyant
Un très mauvais client. Pris en charge à la gare pour une course jusqu’à la Jonction. L’individu demande au chauffeur de se garer dans une petite rue sombre au bord du Rhône. Ce dernier refuse, à raison. Indique le prix de la course (46 francs), se rend compte que l’homme a un couteau.
Esquive salvatrice: le prévenu tente de planter sa lame dans le flanc droit du chauffeur. La victime suit son agresseur qui prend la fuite en direction de la rue David-Dufour. Nouvelle menace de mort proférée par le fuyard. Appel à la police. Interpellation. L’agresseur est Algérien, interdit d’entrée en Suisse jusqu’en 2014. Il conteste tout. En salle d’audition, il confirme simplement avoir pris un taxi, mais prétend n’avoir pas tenté d’agresser le chauffeur. Il refuse de signer
Par ailleurs, précise le communiqué de la police, «il a refusé de se soumettre au test de l’éthylomètre et a refusé de signer les documents présentés». Sur l’un d’eux, il est écrit: «Tentative de meurtre.» C’est ce que lui a notifié l’officier de police, avant de l’envoyer devant le juge compétent. Le prévenu est âgé de 34 ans et sans domicile fixe.
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Les taxis niçois toujours dans le collimateur
La municipalité de Nice souhaite mettre un terme aux pratiques douteuses de certains taxis, notamment vis-à-vis des touristes étrangers
La réputation des taxis niçois n’est plus à faire face à des tarifications fantaisistes notamment vis-à-vis des touristes étrangers qui débarquent à l’aéroport et qui ne sont pas souvent au courant des pratiques locales si souvent dénoncés.La ville de Nice souhaite depuis deux ans mettre un terme aux abus.
La première mesure sera d’imposer, avant la loi en cours d’études, l’obligation aux chauffeurs de taxi d’imprimer et de remettre à leurs clients un ticket qui sera une trace avec le prix acquitté et la distance parcourue à l’achèvement de leur course.
Ce dispositif est destiné à éviter les « abus». Le ticket avec le numéro permet de remonter au chauffeur de taxi.
On pourra ainsi éviter les prix fantaisistes comme ce journaliste qui a dû acquitter 36 euros entre l’aéroport et la gare Nice Thiers durant la période de paralyse du trafic aérien par le nuage de cendres.
Sachant que la distance entre l’aéroport et la gare est de 5 km cela fait du 7 euros le kilomètre. La mesure imposée par la ville devance une circulaire ministérielle qui prescrira ce système à la France en 2011.
On enregistre à Nice une moyenne de 4500 courses par jour. Autre abus dénoncé par la ville l’accord tacite entre certains hôtels et des transporteurs « pirates » pour acheminer leurs clients vers l’aéroport avec une tarification à la « tête du client ».
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Chine: 40 taxis électriques à Shenzhen
Lundi, le Chinois Byd annonçait fièrement que 30 taxis e6 (son monospace électrique) entraient en service. Ils rejoignaient un premier lot de 10 taxis e6 déjà en circulation. Un troisième lot de 100 taxis e6 devraient suivre d’ici la fin de l’année.
Comme l’hybride F3 DM avant elle, le monospace e6 est d’abord proposé aux flottes, afin qu’ils déverminent le produit avant sa commercialisation auprès du grand public. Mais les commandes sont encore plus rares que pour la F3 DM.
Alors, Byd a décidé de prendre les choses en main. Comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, il a fondé sa propre compagnie de taxis, Pengsheng Electric Taxi Co (en collaboration avec Shenzhen Bus Group, SBG.) Elle opère à Shenzhen, fief du constructeur.
La suite ici
Les clients dérobent le taxi au chauffeur ivre
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dimanche 16 mai 2010
La guerre des taxis : « Il y a des frictions mais nous ne sommes pas violents »
"Les taxis pensent que j'ai menti pour salir leur image"
Il Taxi? E' una supercar
Operation publicitaire de la plus grosse cooperative taxi à Rome durant 2 jours au moment de la finale de la coupe d'italie de Foot .
Traduction du texte en dessous de la 1ere photo (pour visualiser les autres photos cliquer sur successivo - suivante - precedente-precedante)
Une supercar transformee en taxi. Mais il ne s'agit pas de n'importe quelle supercar, celle utilisée par la [cooperative] 3570 pour un film ; c'est la Quaranta, un exemplaire unique realisé par le designer Giuriaro avec un moteur Hybrid Synergie Drive de Toyota. L'ensemble des 268 chevaux en font un veritable pur sang ( 0-100 km/h en 4,2 sec.) associé à une autonomie de presque 1000 km. La Quaranta a été peinte en blanc pour l'occasion, équipée d'un taximetre et des numero de licences et ecusson de Rome reglementaires et a été reellement destinée au service public [de taxi] durant 2 journees entieres. Parmi les clients qui ont été transportés, le footballeur Balotelli.- La Republica 4/05/10-
Source 1, source 2
Le ZAP Taxi électrique fabriqué en Chine
Chauffeur de taxi lanestérien menacé avec un pistolet à plomb : l'agresseur écroué
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dimanche 9 mai 2010
Les taxis pour femmes font fureur au Liban
Beyrouth, une tache rose est visible au milieu des kilomètres d'embouteillages quotidiens de Beyrouth. La petite Peugeot de Banet Taxi tente de se faufiler entre les 4x4 rutilants, les vieilles Mercedes et les minibus qui zigzaguent dans un joyeux chaos.
Mais contrairement aux premières semaines, tout le monde ne se retourne plus sur son passage avec des yeux éberlués. Banet Taxi, littéralement «taxi pour filles», fait désormais partie du paysage.
L'entreprise a été lancée il y a un an au Liban, une première au Moyen-Orient. Le concept est simple: des taxis conduits par des femmes, réservés aux femmes et aux enfants.
«L'idée m'est venue lors d'un voyage en Thaïlande, où j'ai vu dans les rues des taxis roses, mais pas nécessairement conduits par des femmes. À l'époque, je ne savais même pas que les Pink Ladies Cabs avaient été lancés au Royaume Uni!» explique l'instigatrice du projet, Nawal Yaghi Fakhri.
Plus de sécurité
Les hommes n'ont le droit d'utiliser Banet Taxi que s'ils sont avec une femme. Sinon, ils sont gentiment priés d'aller voir ailleurs. «Au début, on a dit que le concept était sexiste, mais mon but était simplement de proposer un nouveau service qui offre plus de sécurité aux femmes, explique Nawal Yaghi Fakhri. Refuser des hommes permet surtout de protéger les conductrices.»
«Avant Banet Taxi, la nuit, je n'aurais jamais osé prendre un taxi conduit par un homme pour rentrer chez moi. Maintenant, c'est beaucoup plus simple. Avec une femme, il n'y a jamais d'histoires, et on se sent plus proches», dit Lynn, 17 ans.
Le succès de Banet Taxi est fulgurant, tant auprès des enfants qui rentrent de l'école que des femmes de tous âges, notamment les étrangères. Banet Taxi, qui compte plus de 1000 clientes, a plus que doublé son chiffre d'affaires en un an. De trois au début, son parc compte maintenant 10 voitures. Le concept marche tellement bien qu'il a récemment été lancé en Égypte.
Une affaire qui roule
«Nous employons une quinzaine de conductrices, et nous travaillons 24heures sur 24, assure Nawal Yaghi Fakhri, dans ses locaux roses flambants neufs. Nous avons fait entrer dans les moeurs le fait qu'une femme peut conduire un taxi. Avant, elles n'étaient que deux ou trois dans tout Beyrouth.»
Les conductrices de Banet Taxi ont en général plus de 30 ans et sont issues de toutes les confessions. Chadia, une nouvelle recrue, musulmane divorcée, endosse fièrement l'uniforme de rigueur: pantalon noir, chemise blanche et cravate rose. «Dans une société machiste comme au Moyen-Orient, c'est important de montrer que nous pouvons conduire un taxi comme les hommes. Nous les narguons un peu», lance-t-elle avec une pointe de malice.
L'essor de Banet Taxi fait d'ailleurs parfois grincer des dents. Dans l'entreprise Viva Taxi, la question fait débat. «Si toutes les femmes se mettent à conduire des taxis dans Beyrouth, ça deviendra dangereux pour nous!» prévient Joseph, un chauffeur de la vieille génération.
«Les femmes conduisent bien des voitures, alors pourquoi pas des taxis? réplique son collègue Abdallah. Je ne crois pas qu'il y aura de concurrence entre nous, car nous ne visons pas la même clientèle.»
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Skoda, nouvelle coqueluche des taxis
A la station de taxi, la composition de la grille de départ a évolué. On y voyait surtout des Peugeot et des Mercedes, mais, ces dernières années, deux constructeurs ont réalisé une percée : Volkswagen, qui s'est hissé en pôle position, mais aussi sa filiale Skoda.
La firme tchèque (quatorzième marque importée en France) s'est installée à la quatrième place du hit-parade de la spécialité grâce à l'Octavia et à la vaste berline Superb, dont la dernière génération a été sacrée "Taxi de l'année 2009-2010" par L'Officiel du taxi, bible de la profession. Les lignes assez banales et la dénomination résolument kitsch de ce dernier modèle, dont la nouvelle version break, baptisée Combi, est commercialisée depuis quelques semaines, n'ont visiblement pas nui à sa carrière.
La Skoda Superb (à partir de 23 200 euros) offre un gigantesque espace intérieur, un coffre démesuré, un habitacle austère mais de bonne facture, de solides moteurs Diesel TDI estampillés VW, des suspensions souples et elle se négocie à des prix franchement plus intéressants que les limousines allemandes. Bref, elle a tout pour faire un taxi.
Pour montrer patte blanche dans cet univers très codifié, appartenir à une marque sans aura particulière - voire, pour nombre de clients, parfaitement méconnue - ne constitue pas un réel handicap, à condition d'avoir fait et refait la démonstration de sa fiabilité. "L'épreuve de vérité commence au bout de deux ans et 200 000 kilomètres parcourus ; à partir de ce seuil, une réputation se construit ou se délite, et le bouche-à-oreille fait le reste", insiste Jean-Marc Prince, directeur de Skoda France. Jouant habilement de leur statut de "Volkswagen dégriffées", l'Octavia (issue de la Golf) et la Superb (conçue à partir de la Passat) se sont forgé une réputation de voitures certes moyennement guillerettes, mais sur lesquelles on peut compter. En consacrant un joli budget pour devenir la marque automobile officielle du Tour de France cycliste, Skoda a trouvé un autre terrain pour soigner son image de sérieux tout en profitant de l'occasion pour asseoir quelques VIP sur la banquette arrière de la Superb.
Car jouer les voitures de maître ou vendre deux mille taxis par an permet aussi à nombre de passagers de découvrir d'un peu plus près ce à quoi ressemble une Skoda. Contrairement aux élitistes BMW ou Audi, la marque tchèque - mais aussi Toyota, qui a fait entrer son modèle hybride Prius dans la shopping list des chauffeurs de taxi - y voit une appréciable vitrine grand public. L'idée est moins de provoquer un coup de coeur que de mettre en valeur sur son terrain de prédilection une marque qui se présente avant tout comme "rationnelle". En croisant les doigts pour éloigner le jour fatidique où un client s'entendra dire la fameuse phrase du chauffeur de taxi : "Vous savez, Skoda, c'est plus ce que c'était..."
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Aéroport de Roissy: les taxis parisiens gardent le monopole
Les taxis parisiens garderont le monopole de la desserte de l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, ainsi que l'a décidé jeudi après-midi l'Assemblée nationale dans le cadre du projet de loi Grenelle 2.
La plupart des députés, à gauche comme à droite, ont suivi l'avis du gouvernement, qui a voulu défaire une disposition introduite dans le texte du Grenelle 2.
La nouvelle avait fait l'effet d'une bombe auprès des taxis de banlieue. Marc Ghis, le président de la FNTI Ile-de-France, syndicat des taxis indépendant, qui mène un combat contre ce monopole depuis plus de quatre ans, estime pour autant que rien n'est joué et annonce qu'il mettra tout en oeuvre pour faire tomber «cette exclusivité». «Bien joué pour les taxis parisiens qui gagnent une première manche, lâche t-il un brin caustique. Mais le jeu doit également se faire sur le plan judiciaire : nous avons saisi le tribunal administratif de Pontoise et nous attendons son jugement dans les semaines à venir... Et si ce n'est pas suffisant, nous irons jusque devant la cour européenne...»
Selon le représentant syndical, un accord aurait été signé notamment entre la ville de Paris et Aéroports de Paris (ADP), il y a une trentaine d'année. «Il est obsolète et surtout d'une injustice flagrante puisqu' il porte essentiellement sur la tarification et pas sur un monople, souligne encore Marc Ghis. Selon la législation en cours, un taxi de Roissy aurait le droit de «chalander» sur sa commune de rattachement mais pas celui de charger à l'aéroport de Roissy ! C'est un comble. Et cela, alors qu'il n'y a presque plus de boulot ne banlieue, ça ne va pas !» Et d'ajouter : «Cette nouvelle décision qui n'est le fait que de trois députés.... me met effectivement en colère... mais nous sommes prêts à nous battre jusqu'au bout.»
Des élus très partagés
Le député UMP du Val-d'Oise Yanick Paternotte, qui avait défendu cette suppression, a de nouveau fait valoir qu'il convenait d'ouvrir à l'ensemble des taxis franciliens la possibilité de prendre en charge la clientèle de Roissy.
Le ministre des Transports, Dominique Bussereau, a répondu que la fin du monopole concentrerait encore plus de taxis sur l'aéroport de Roissy où ils sont déjà «en surabondance» sans pour autant apporter de bénéfice à la clientèle. Il a proposé la création d'un groupe de travail sur la question des taxis franciliens.
Annick Lepetit, pour le PS, a souligné que la suppression du monopole pénaliserait fortement les taxis et particulièrement les artisans qui ont souvent dû s'endetter afin d'acquérir leur licence. Elle a aussi déclaré qu'il y avait «urgence à prendre des décisions sur la question des taxis franciliens, vu le nombre de taxis clandestins» mais que si une réflexion sur les taxis à l'échelle métropolitaine est nécessaire, elle devait avoir lieu dans le cadre d'une concertation.
Les dômes publicitaires suscitent la grogne
À peine installés sur des taxis de la métropole, les nouveaux dômes publicitaires soulèvent la grogne chez certains chauffeurs, qui craignent de perdre des clients parce qu’ils ressemblent «à des livreurs de pizza».
«Les gens sont visuels. Ça fait passer le taxi inaperçu comparativement à ceux qui n’ont pas de dôme», déplore Amirouche Aithamouda, qui prend le volant sous la bannière de Taxi Coop.
Amirouche Aithamouda n’aime pas les nouveaux dômes publicitaires. Photo Luc Laforce |
Selon le président de l’entreprise et du Regroupement des propriétaires de taxi de Montréal, Laval Bilodeau, ce problème, s’il survient, sera de courte durée. «Les gens seront peut-être surpris les premières fois qu’ils en verront un, mais il vont s’habituer», dit-il.
Le nouveau support publicitaire, officiellement lancé lundi, devrait se retrouver sur 500 véhicules d’ici quelques semaines. À terme, Taxicom souhaite installer des dômes sur près de la moitié des 4 500 taxis de la métropole.
Selon des chauffeurs, de petits ajustements seront toutefois nécessaires. M. Aithamouda affirme notamment qu’il a déjà perdu l’une des deux affiches publicitaires de 12x42 pouces qui recouvrait le dôme de son taxi alors qu’il circulait sur l’autoroute 40. «Avant de répondre aux désirs de l’industrie publicitaire, on devrait se préoccuper des chauffeurs et installer des barrières de sécurité dans les véhicules», ajoute-t-il.
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Le taxi ajaccien volé réapparaît
Il a refait surface aussi mystérieusement qu’il s’était évanoui dans la nature. Le taxi volé à Ajaccio le 28 avril dernier (voir notre édition d’hier) a été retrouvé intact sur un parking situé à quelques pâtés de maisons de l’endroit où il avait disparu. Certains professionnels du syndicat des artisans taxis de Corse-du-Sud n’ont pas peur des mots.
Il a refait surface aussi mystérieusement qu’il s’était évanoui dans la nature. Le taxi volé à Ajaccio le 28 avril dernier (voir notre édition d’hier) a été retrouvé intact sur un parking situé à quelques pâtés de maisons de l’endroit où il avait disparu. Certains professionnels du syndicat des artisans taxis de Corse-du-Sud n’ont pas peur des mots.
Et évoquent même un « véritable miracle ». « Quelqu’un qui a dû lire le journal a prévenu la police qui a retrouvé la Mercedes intacte, bien garée et même fermée à clef, sans doute par peur qu’on ne la vole à nouveau », se réjouit Jean-Baptiste Emmanuelli, le président du syndicat. « Seul le compteur permettant de chiffrer les courses n’était pas à sa place, on l’avait posé sur le siège à côté du conducteur », poursuit-il. Son propriétaire ?
« À nouveau, il n’en croit pas ses yeux car il considérait - comme nous tous -, cette voiture comme perdue ; mais tout est bien qui finit bien et il est heureux », insiste le président. Il devra néanmoins refaire les serrures avant de pouvoir reprendre pleinement son activité dans sa Mercedes gris métallisé rutilante.
D’ores et déjà, celle-ci ferait presque figure de relique. Fruit de l’intervention de Saint-Fiacre, le patron des taxis, pour certains. Du bon sens de voleurs amateurs pour d’autres.
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La publicité a un nouveau support à Montréal. Depuis hier, elle se pavane sur le toit des taxis. D'ici à vendredi, 375 véhicules se promèneront dans la ville avec des pubs de Telus, MasterCard Banque Nationale et Tourisme Montréal. Et d'ici quelques semaines, on vise 500 véhicules pour 1000 surfaces publicitaires de 12 pouces sur 42 pouces. «Il y a 4500 véhicules en circulation à Montréal, mentionne André H. Martel, instigateur du projet et directeur général de l'agence Taxicom, créée pour l'occasion en octobre 2008. Notre but est de mettre de la pub sur 2000 dômes.»
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Un taxi volé se perd dans la nature
À peine le temps d'une course. Et la voiture disparaît aussi sec. Évanouie dans les méandres de la cité impériale. Mercredi dernier, un artisan taxi ajaccien a eu la mauvaise surprise de constater que la place sur laquelle il avait garé son outil de travail était désespérément vide. Il est quinze heures et le chauffeur vient juste de claquer la porte de sa Mercedes, en face du local du syndicat des artisans taxis de Corse-du-Sud, rue Paul-Colonna-d'Istria. « Le temps de faire une course et de déposer un document », signale le président, Jean-Baptiste Emmanuelli, indigné par un « acte qui est une première en Corse. » Tout d'abord incrédule, l'artisan s'imagine qu'un riverain peut l'avoir déplacé. Avant de se rendre à l'évidence. Il s'agit bien d'un vol.
Pour des pièces détachées ?
En plus de la voiture, bon nombre de documents mais également le « lumineux », l'indicateur placé sur le toit s'envolent dans la nature. « Il avait laissé les clefs sur le contact, mais dans le quartier, il n'y a jamais eu de problème », poursuit Jean-Baptiste Emmanuelli. Après une plainte déposée au commissariat d'Ajaccio, l'artisan vit une situation difficile. Avec une perte sèche d'activité. « Récemment, un collègue lui a prêté un véhicule homologué, mais ce vol lui a coupé les deux bras », renchérit le président. « Si au départ on s'imaginait que des jeunes aient voulu s'offrir une virée en taxi gratuite, le ou les voleurs ont pu déjà revendre les pièces détachées », ajoute-t-il, pessimiste.
Non sans exprimer le sentiment des quarante-huit professionnels de Corse-du-Sud, « choqués, émus mais solidaires. » La suite ? Elle dépendra de l'enquête qui est entre les mains des policiers de la Sûreté départementale. En tout état de cause, le véhicule aurait été aperçu il y a quelques jours dans les environs du quartier Binda. Les enquêteurs lancent un appel. Invitant toute personne ayant vu cette Mercedès C270 de couleur gris métallisé à joindre le standard du commissariat (04. 95. 11. 17. 11.).
Bilan de l'opération "taxi propre" à Paris
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Pekin 2010 : Mercedes CLS Shooting Brake Concept
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Tomtom GO 1000 Live
Le TomTom Go Live 1000 abrite comme son nom l'indique un modem, qui permet de bénéficier de services en temps réel tels que TomTom HD Traffic, les mises à jour cartographiques, les alertes radars mobiles et la recherche locale dans 16 pays. Jusqu'à présent facturé près de 10 euros par mois, ce service est désormais offert pendant 1 an, au terme duquel il devrait être facturé moitié prix, pour environ 5 euros par mois. Fourni en partenariat avec Vodafone, il fonctionne sans surcout dans 33 pays européen.
Cette connectivité ouvre également la voie à un nouveau champ d'application, déjà démocratisé dans le domaine du smartphone. La possibilité d'ouvrir un kiosque de téléchargement d'applications similaire à l'App Store d'Apple est effectivement à l'étude. Sa nouvelle interface embarque pour ce faire WebKit, le moteur de rendu d'application web justement employé par l'iPhone et d'autres smartphones.
L'algorithme de calcul d'itinéraires a enfin été amélioré et promet un calcul « quasi-instantané », notamment grâce à son processeur ARM 11 cadencé à 500 MHz. Celui-ci « fournit à tout moment le meilleur itinéraire possible » en fonction de l'information trafic et de l'historique du trafic au jour et à l'horaire donné, au travers de la fonction IQ Routes. Le logiciel a quant à lui été « grandement amélioré » et accueille notamment une nouvelle fonction « Park Assist » qui informe automatiquement le conducteur sur les parkings à proximité de sa destination.
La fiche technique complète, la date de lancement et le prix public de ce TomTom Go Live 1000 ne sont pour l'heure pas communiqués. Il est annoncé pour « cet été » et mérite sans doute de reporter l'achat d'un autre modèle haut de gamme, en particulier le TomTom GO LIVE 750 qu'il remplacera, compte-tenu des nombreuses nouveautés qu'il propose.
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