jeudi 29 avril 2010

Première licence de taxi : un service de proximité - Trévières

Deux ans de bataille juridique auront été nécessaires à Didier Cosset avec le soutien de la commune pour obtenir la création d'une licence de taxi à Trévières. « De Bayeux jusqu'à Isigny, cette partie nord du Bessin n'est pas desservie, l'étude de marché montrait le besoin. Étant déjà implanté à Port-en-Bessin, il m'arrive de venir sur Trévières donc je connais le besoin local », commente Didier Cosset.

L'attente de ce service, il n'est pas le premier a y avoir pensé mais la première tentative de demande de licence avait échoué face à une structure professionnelle très fermée. Ce premier échec avait d'ailleurs agacé le maire Jean-Pierre Richard qui a apporté tout son soutien à cette nouvelle demande. « Disposer d'une offre de taxi à demeure sur Trévières, c'est apporter une offre multiservice à toutes les tranches d'âge de la population des environs. Cela renforce le rôle de service de proximité du chef-lieu de canton », estime le maire. Le service de taxi n'est pas uniquement du transport à la personne, cela peu aussi en milieu rural être du transport de service. La création de cette licence a permis à l'entreprise de créer un troisième emploi. Didier Cosset compte maintenant passer une convention avec le conseil général pour être taxi bus.

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lundi 26 avril 2010

Les premiers taxis électriques à batterie interchangeable roulent à Tokyo


Selon Better Place, cette initiative subventionnée par les pouvoirs publics japonais est une première mondiale.

Trois taxis électriques à batterie amovible, spécialement fabriqués par le constructeur nippon Nissan, vont sillonner la capitale.

Selon le patron de la compagnie de taxis Nihon Kotsu, partenaire du test, "le remplacement de la batterie en une minute est à l'heure actuelle la meilleure solution pour les taxis", même si sont promises des bornes électriques qui permettront de remplir un accumulateur à 80% en une quinzaine de minutes.

"Les recharges rapides trop fréquentes dégradent les performances des batteries", argue Better Place, entreprise qui juge "irréaliste d'immobiliser un taxi pendant 20 à 30 minutes pour le ressourcer".

Dans la station Better Place, un espace de la même taille qu'une station-service, un système robotisé permet de changer la batterie du véhicule, via une trappe, sans que le conducteur ait à descendre de sa voiture.

Il faudrait cependant quelque 300 stations uniquement à Tokyo pour rendre possible la conversion de tous les taxis actuels en modèles électriques, selon Better Place. Quelque 60.000 taxis roulent dans la mégapole tokyoïte, bien plus que dans toute autre ville du monde.

"Les taxis représentant 2% du parc automobile de la capitale, mais ils sont responsables de 20% des émissions de gaz à effet de serre provenant des véhicules", soulignent les autorités nippones qui se veulent exemplaires.

L'expérimentation est "en très grande partie" financée par le gouvernement japonais, a précisé le patron de la filiale nippone de Better Place, Kiyotaka Fujii, sans détailler les sommes en jeu.

Better Place a d'autres projets de même nature en cours dans le monde.

La jeune entreprise, créée par un ex responsable de la société de services informatiques SAP, espère faire de Tokyo un site-modèle pour promouvoir son concept et ailleurs dans le monde.

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samedi 24 avril 2010

Suivez ce taxi!

Il existe un monde où vous en avez plus que pour votre argent lorsque vous montez dans un taxi, et ce monde s'appelle...l'Allemagne !

Le magazine d'Outre-Rhin AutoBild a acquis un Porsche Panamera Turbo d'une valeur de 98'000€, pour la convertir en taxi ! Au menu des réjouissances pour ceux qui auront la chance de mettre les pieds dans ce véhicule d'exception du côté de Stuttgart, une course dans une machine de première main. Si vous êtes partants pour un « petit crochet », notez que certaines sections d'autoroutes en Allemagne sont dépourvues de limitations de vitesse, ce qui permettra à votre chauffeur (pilote?) de vous montrer ce qu'a la bête dans le ventre.

Pour l'heure, vous ne pourrez qu'admirer avec les yeux, nos confrères d'Autobild ayant pris grand soin de ne pas traduire leurs commentaires afin de focaliser toute l'attention sur cet original coup de promo !



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Taxis : « Notre métier est en péril »

Les taxis sont trop nombreux en Saône-et-Loire et la profession est en danger : c'est le message que souhaite faire passer la Fédération des taxis indépendants de Saône-et-Loire en rassemblant ses effectifs aujourd'hui à Chalon.

Ce n'est pas le premier cri d'alarme de la Fédération des taxis indépendants de Saône-et-Loire. Il y a quelques semaines déjà, cette organisation syndicale avait boycotté la commission des taxis qui décide des nouvelles implantations de chauffeurs de taxi dans le département.

« Nous sommes trop nombreux et les mairies et la préfecture, qui délivrent de nouvelles licences, ne semblent pas conscientes du problème », explique Jean-Luc Montmayeur, président de la Fédération des taxis indépendants de Saône-et-Loire. Cela se traduit notamment par le débordement de certains nouveaux taxis sur le domaine des autres. Et la tension monte : pour preuve, deux récents incidents se sont déroulés à la gare de Chalon et à celle de Montchanin : cela s'est terminé en bagarre.

« On ne peut plus continuer comme ça, ajoute Roland Hardy, le trésorier du syndicat. Ce n'est que le début des problèmes et si les licences distribuées se multiplient, on va au clash. »

La préfecture de Saône-et-Loire dénombre actuellement 420 autorisations de stationnement réparties de façon disparate, « rarement implantées dans les communes de moins de 500 habitants ». Le nombre des demandes, soumises à l'avis de ma commission départementale des taxis, est en augmentation depuis trois ans (14 en 2007, 38 en 2008 et 39 en 2009). Sur ces 85 demandes, 60 ont été cependant déposées, selon la préfecture, par des exploitants taxis déjà titulaires d'une ou plusieurs autorisations afin de faire face à un volume de demande de transports supplémentaires.

Une solution : l'index économique

« Nous souhaitons la mise en place, comme c'est déjà le cas en Côte-d'Or et dans le Jura notamment, d'un index économique, déclarent les représentants de la Fédération syndicale saône-et-loirienne. Il s'agirait de nombreux conseils et recommandations aux mairies lors d'une demande de licence : le nombre d'habitants et la situation des taxis dans la commune et les environs, la pertinence d'implantation d'un taxi, etc. Mais il semble que ça freine du côté de la préfecture, et on ne sait pas pourquoi. »

La préfecture, elle, souligne qu'elle a collecté tous les éléments demandés par les syndicats pour mettre en place cet index a réalisé « une synthèse remise lors de la réunion de la commission départementale des taxis du 24 février 2010 ». Mais l'index ne peut encore être mis en place « par manque de données ».

Aujourd'hui, tous les taxis indépendants de Saône-et-Loire sont donc invités par la Fédération syndicale à se réunir à Chalon afin de réfléchir et mettre en commun des solutions envisageables pour débloquer la situation. « Nous allons certainement faire remonter une pétition pour brusquer un peu les choses et manifester notre poids et notre volonté de faire bouger les choses », annonce Jean-Luc Montmayeur.

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Pourquoi les taxis ne roulent-ils jamais en BMW ?

« Les taxis sont pourtant férus de belle mécanique », note notre riverain Grey Gogrio qui pose la question. D'accord, on peut tout de même croiser des taxis en BMW. Mais ils sont très rares.

Problème d'image
Pour la Fédération nationale des artisans du taxi, cela tient à un problème d'image de BMW.
Hélène Manceron, porte-parole de la fédération, raconte que la stratégie marketing de BMW écartait son industrie pour soigner son image associée au luxe.
« BMW trouvait que c'était un argument anti-commercial d'être utilisé par des taxis », explique-t-elle, ajoutant qu'il y a quelques années ,le constructeur n'avait pas la volonté de faire homologuer ses véhicules, une étape nécessaire pour transformer une voiture en taxi.
BMW France, qui avoue souffrir d'une mauvaise image dans ce milieu, rejette cette explication. Guillaume Zammith, porte-parole du constructeur, se défend de délaisser cette activité :
« De tout temps ,on a eu une politique taxi, comme les autres constructeurs. C'est juste que les taxis ne s'associent pas à l'image de BMW. Pour eux, ce sont des véhicules dynamiques, sportifs, luxueux et qui ne correspondent pas forcément à leur profession. Ils ne pensent pas à la marque BMW pour acheter un taxi. »
La porte-parole de la Fnat admet ne pas avoir de preuves de la discrimination de BMW, mais assure que cette histoire circule depuis longtemps dans le milieu du taxi :
« Dans l'imaginaire collectif de la corporation, il y a cette notion que BMW n'a jamais fait d'efforts vis-à-vis des taxis. »
Si le constructeur dit faire de la publicité en direction de cette clientèle, les taxis demeurent réticents.

Les efforts commerciaux de Mercedes
Ahmed, chauffeur de taxi depuis 20 ans à Paris, roule en Citroën et confirme l'explication de la Fnat :
« A l'origine, ils ont refusé d'être homologués pour une question de prestige. Après, ils s'y sont mis, mais il était trop tard, le marché était déjà pris. »
Abdel, un taxi indépendant, a choisi de rouler en Mercedes et met en avant des raisons financières et de confort :
« Mercedes fait des bons prix. La remise est d'environ 10%. Chez BMW, c'est 6 ou 7%. En plus, ma voiture est plus confortable, plus adaptée pour recevoir les clients. BMW, c'est plus sportif. Puisque c'est moins cher et qu'on est plus à l'aise, on va donc chez Mercedes. C'est ma marque préférée ! »
Typique de la politique commerciale agressive de Mercedes vis-à-vis des taxis, le constructeur a une entente avec les Taxis G7, auxquels 5 000 chauffeurs indépendants sont affiliés dans la région parisienne, ce qui représente une partie importante de la flotte des taxis. Cela exclut BMW de fait, souligne Samuel, partenaire de G7 et propriétaire d'une Mercedes.
L'image de Mercedes est tellement établie comme le véhicule solide des chauffeurs de taxi que certains d'entre eux nous disent craindre de « passer notre temps au garage » s'ils roulaient en BMW.
D'autres, en Opel ou Peugeot, nous disent exclure BMW parce que « c'est bien trop cher ».

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vendredi 23 avril 2010

Pas besoin d'aller loin... En France c'est déjà rude !


Dans quel(s) pays la conduite vous a t-elle paru dangereuse ?
>> En France et en particulier dans le midi du côté de Marseille, Nice, c'est effrayant.

Quels sont les exemples que vous pouvez nous citer
>> Vitesse excessive, conduite en téléphonant, stop grillés, feux orange très mûrs, sens interdit en marche arrière, conduite en état d'ivresse, clignotants optionnels. J'ai eu la peur de ma vie en prenant un taxi l'année dernière à Marseille qui roulait à tombeau ouvert en téléphonant à sa femme et un très grave accident sur la Croisette du fait d'un monsieur qui avait trop bu et n'a pas vu que notre voiture était arrêtée au feu rouge !

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jeudi 22 avril 2010

Faux taxi: 3 mois de prison

Un Algérien de 49 ans, faux taxi récidiviste à l'aéroport de Marseille Provence, vient d'être condamné à trois mois d'emprisonnement par le tribunal correctionnel d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), avec mandat de dépôt à la barre, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. L'homme, qui a reconnu les faits et était jugé lundi en comparution immédiate, a également été condamné à cinq ans d'interdiction de fréquenter l'aéroport, confiscation du véhicule et 1.000 euros de dommages-intérêts pour chacun des deux plaignants, le président de l'association locale des taxis et le responsable de la société des bus de Marignane.

Messaoud Ghaouti avait été interpellé le 16 avril dans le cadre des opérations menées régulièrement par la police aux frontières contre les taxis clandestins.

Les enquêteurs de la Brigade mobile de Recherche l'ont intercepté alors qu'il faisait monter deux personnes dans son véhicule. Il les avait auparavant abordées dans le hall de l'aérogare pour leur proposer un trajet sur Marseille pour dix euros par personne.

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Tensions autour de la gare : les taxis sur un volcan !

On a beaucoup vu ces jours-ci des taxis barcelonais à Perpignan. Les professionnels des P.-O. dénoncent une usurpation illégale de clientèle sur leur lieu de travail. Explications.

Comment la cendre d'un volcan surplombant le glacier islandais Eyjafjallajokull a-t-elle pu susciter quelques tensions entre taxis espagnols et français ? En temps normal, seule l'imagination d'un bon romancier utilisant les ficelles du hasard peut parvenir à tisser un lien entre ces deux types d'événements. Seulement voilà : comme chacun le sait, les avions n'ont plus décollé ces jours-ci à cause du nuage en question et les gares de Catalogne-Sud étaient saturées. Les voyageurs en partance de Barcelone ont donc décidé, au moins de puis le week-end

dernier, de remonter vers le nord. Beaucoup ont choisi le taxi comme mode de transport pour rejoindre notamment la gare de Perpignan afin d'y prendre un train qui, pour cause de grève, n'était au rendez-vous qu'une fois sur quatre. Arrivés au centre du monde et voyant que celui-ci ne pouvait plus les conduire nulle part, les voyageurs espagnols ont continué leur périple en empruntant le seul moyen de locomotion disponible sur place, en l'occurrence le taxi.

"Absolument interdit"

C'est là que surgit le problème avec, selon Emile Garcia, président du Syndicat des taxis perpignanais, une présence anormale et récurrente in situ de ses homologues espagnols : "Après avoir laissé leurs clients, ils ne sont pas tous repartis sur Barcelone. Certains ont entamé une maraude sur place, racolant les passagers qui, entre deux rondes de taxis perpignanais, embarquaient alors souvent pour de longues distances dans les véhicules jaune et noir. Ce qui est absolument interdit. Car, comme le stipule la loi, un taxi, s'il n'est pas réservé au préalable, ne peut effectuer de prise en charge en dehors de sa commune de rattachement". La situation a entraîné des tensions, d'autant plus palpables que, toujours selon Emile Garcia, "les forces de l'ordre ne sont pas intervenues immédiatement pour faire cesser ce manège". Le président du syndicat raconte : "C'est une véritable station de taxis barcelonaise, avec une vingtaine de véhicules, qui s'est installée près de la gare, face au Paris-Barcelone. Puis, voyant que le ton commençait à monter, ils se sont ensuite déplacés sur Saint-Assiscle, pour y guetter l'arrivée des trains". Avec la reprise progressive du trafic aérien, la "crise" semble désormais réglée. Elle n'en a pas moins suscité, à Perpignan, quelques vives réactions entre professionnels des deux côtés des Pyrénées. Ce qui n'était pas fait pour dissiper un nuage décidément hostile aux moyens de locomotion.

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mercredi 21 avril 2010

Vienne-Paris en taxi à 500 euros, Vienne-Oslo entre 1.000 et 10.000 euros

VIENNE — Au terme de plus de trois jours de suspension du trafic aérien dans de nombreux pays européens, les voyageurs en rade à l'aéroport de Vienne se voyaient lundi proposer des trajets en voiture pour des sommes élevées mais avec la garantie d'arriver à destination.

Dans le hall des départs de l'aéroport de la capitale autrichienne, où des centaines de passagers espéraient enfin pouvoir trouver une place sur un avion avec la réouverture de l'espace aérien autrichien à l'aube, une foule de chauffeurs proposaient de conduire les infortunés touristes ou les hommes et femmes d'affaires vers leur destination par la route.

Un Vienne-Paris, soit un peu plus de 1.000 km à vol d'oiseau, était ainsi proposé à 500 euros prix minimum. Une surcharge était exigée en cas d'arrêts touristiques souhaités.

Pour un Vienne-Oslo en voiture, les prix pouvaient varier entre 1.000 et 10.000 euros selon les extras comme une nuit d'hotel, haltes touristiques, ou l'exigence d'avoir plusieurs chauffeurs.

D'autres prestataires de ces services de taxi particuliers déambulaient lundi entre les passagers des compagnies aériennes en rade en offrant "un tarif fixe pour toutes les destinations en Europe", en général à partir de 4.000 euros.

Côté voitures de location, les agences à l'aéroport de Vienne pouvaient encore satisfaire les demandes lundi. Un employé de l'une de ces agences a toutefois regretté auprès de l'agence de presse APA, la lenteur du retour des véhicules loués avant la paralysie dans le secteur aérien.

"Sur les 150 voitures qui auraient dû revenir ces derniers jours, je n'en ai eu que 30. Et avec ça, tout le monde dit que cette histoire de nuage de cendres nous permet, à nous agences de location, de faire l'affaire du siècle! Mais ils oublient que mes voitures se trouvent maintenant en Pologne et ailleurs jusqu'au Portugal et que je ne sais comment les faire revenir", s'est-il plaint.


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Concept Shooting Break by Mercedes!


Ce concept-car devrait en faire rêver plus d'un! Alors qu'en 2004 Mercedes inaugurait un nouveau segment de marché avec la CLS, 4 ans plus tard, la marque à l'Etoile présentait le Concept Fascination, réinterpréation du coupé 4 portes-4 places façon break de chasse... Cette fois, place au Concept Shooting Break, en première mondiale à Pékin! Sa silhouette bien proportionnée, son regard typé SLS AMG ou encore sa poupe arrière très évasée lui procurent ici une forte personnalité. Et c'est sans compter sur le luxe ni la sensation d'espace et de luminosité qui règnent à bord. Enfin pour se mouvoir: rien de moins pour l'Allemand qu'un V6 3.5 litres délivrant 306 chevaux et des gommes de 20 pouces!

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Un nouveau prototype de taxi électrique : le Volkswagen Milano Taxi

En Allemagne, à l'occasion de la Foire de Hanovre (Hannover Messe, dédiée aux technologies industrielles ) qui ouvre ses portes du 19 au 23 avril 2010, le constructeur allemand Volkswagen crée la surprise en exposant en première mondiale son nouveau prototype de taxiélectrique.
Il est appelé Volkswagen Milano Taxi (affichant les couleurs des taxis à Milan).
Ses dimensions ? Une longueur de 3,73 m, une largeur de 1,66 m et une hauteur de 1,60 m. Il pèse 1 500 kg.
Nous savons qu'il reçoit un moteur électrique développant 115 ch (85 kW) et des batteries lithium-ion. Il bénéficie d'une autonomie de 300 km. Il faut bien ça pour ce type de véhicule ! Sa vitesse de pointe est de 120 km/h.
Sinon, les occupants ont droit à des écrans tactiles, histoire de s'occuper pendant le trajet. Et un espace «coffre» a été aménagé dans l'habitacle.
Le Volkswagen Milano Taxi préfigurerait les futurs taxis électriques qui évolueront dans les grandes villes européennes dans les années à venir. Vivement leur commercialisation !

John Cleese : 3 800 euros la course en taxi d'Oslo à Bruxelles !

John Cleese a de la suite dans les idées. Bloqué à Oslo à cause du nuage de cendres qui surplombe l'Islande et les pays voisins, l'ex-Monthy Python s'est offert un trajet en taxi jusqu'à Bruxelles pour la modique somme de 3 800 euros. «Nous avons essayé toutes les alternatives, mais il n'y avait plus de place à bord des bateaux et des trains. C'est à ce moment là que mon extraordinaire assistant a jugé que le plus simple serait de prendre un taxi», raconte l'humoriste britannique à la télé norvégienne TV2.

La course a commencé à 8h00 vendredi matin, embarquant trois chauffeurs norvégiens à bord pour se relayer au volant. «
Ça va être intéressant. Je ne suis pas pressé», poursuit-il. Le but de la manoeuvre étant de trouver une place à Bruxelles dans l'Eurostar qui le mènera à Londres. Au pire, il lui reste la marche à pied...

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Le transport à la demande débarque bientôt - Paimpol

La communauté de communes de Paimpol-Goëlo lance un service de transport à la demande, T9COM. Il sera expérimenté dès le samedi 24 avril à raison de trois demi-journées par semaine.

Pourquoi ? Comment ?

Pourquoi un service de transport à la demande sur le territoire ?

« Nous menons la réflexion depuis un an sur un service à la personne », explique Maurice Goarin, président de la communauté de communes Paimpol-Goëlo. « Nous sommes partis d'un ressenti », ajoute Christian Desnée, délégué aux transports. En s'inspirant de se qui se fait dans d'autres villes du département comme à Carhaix, Lannion ou Rostrenen. Camille Grot, membre de la commission des réseaux de transport précise qu'il s'agit « d'un service complémentaire et non concurrentiel à Tibus ». À savoir les deux lignes régulières de bus vers Saint-Brieuc, « une des lignes les plus utilisées dans le département » souligne-t-il. Ce transport à la demande concernera les communes de Kerfot, Lanleff, Lanloup, Paimpol, Pléhédel, Ploubazlanec, Plouézec, Plourivo et Yvias.

À quel public est destiné ce nouveau service ?

« C'est tout public, à partir de 7 », résume Christian Desnée. Il s'agit aussi de faciliter le déplacement des personnes qui n'ont pas de moyens de locomotion et limiter la circulation et le stationnement sur Paimpol-Goëlo. Il peut être également accessible aux vacanciers qui, par exemple, une fois arrivés en gare de Paimpol pourront l'utiliser pour rejoindre leur lieu de vacances.

Qui prend en charge et combien coûte ce nouveau dispositif ?

Le transport à la demande est une compétence du conseil général, déléguée en mars 2010 à la communauté de communes Paimpol-Goëlo. Neuf compagnies de taxi du territoire sont signataires de la convention d'exploitation du service. Pour ces professionnels, « cela s'inscrit dans la continuité des services qu'on offre en tant que taxi ». Le Département a également délégué la gestion de la centrale de mobilité à la Compagnie armoricaine de transport (CAT) qui s'occupe du réseau Tibus. La CAT pourra notamment assurer les trajets en cas de défaillance de l'un des transporteurs. Le coût de ce nouveau service est de 30 000 €.

Quelle est la démarche à suivre pour réserver un taxi ?

Le service sera lancé le 24 avril, les personnes intéressées pourront commencer à réserver leur trajet dès le 19 avril. Elles contactent la centrale de mobilité du conseil général à Saint-Brieuc au plus tard la veille du trajet avant 12 h et renseignent l'hôtesse sur la date, les horaires et la destination voulue : 0810 22 22 22 (prix d'un appel local). Si le point de départ et/ou d'arrivée du trajet est situé à moins de 400 m d'un arrêt Tibus, l'hôtesse les redirigera vers le réseau de bus. L'usager attend le taxi au lieu et à l'heure du rendez-vous. Ce service lui en coûtera 2 € (4 € l'aller-retour).

Quelles sont les plages horaires ?

À titre d'expérimentation, le T9COM s'étalera sur trois demi-journées par semaine : mardi de 8 h 30 à 12 h 30, mercredi de 13 h 30 à 18 h 30 et samedi de 8 h 30 à 12 h 30. « Nous ferons un bilan en fin d'année, indique Maurice Goarin. On verra comment ajuster le service. »

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Test du Tomtom Start ², votre 1er GPS Tomtom ;)

Cinq petits mois après le lancement du Start, Tomtom propose déjà un lifting logiciel pour son GPS d’entrée de gamme.
En effet, la concurrence est tellement rude que l’on trouve des GPS 1er prix à moins de 100 € et qui en propose de plus en plus.
Certes, ces produits sont souvent médiocres, mais le prix est souvent l’élément déclencheur de l’achat.
Tomtom l’a bien compris, et propose quelques améliorations pour se distinguer de ces produits « lost cost ».
Le Tomtom Start ² est surtout destiné aux personnes
• qui sont allergiques à la technologie souvent jugée trop complexe à utiliser,
• plus jeunes qui ne souhaitent pas casser sa tirelire pour un système de navigation
Tomtom a donc réfléchi à une nouvelle interface logicielle simplifiée en vue de ne pas inonder d’informations le novice, et lui permettre de naviguer simplement d’un point A vers un point B sans fioriture.
Par contre, en sous marin (et donc invisible pour le l’utilisateur), le Tomtom Start ² reprend tout ce qui fait le succès de la marque hollandaise: le noyau logiciel (algorithme de calcul d’itinéraire), ainsi que sa technologie phare IQ Routes, modélisation 3D ... que nous détaillerons plus tard dans ce test.


Test Tomtom Start ²
envoyé par tomtomax. - Les derniers test hi-tech en vidéo.

La suite du test ici

lundi 19 avril 2010

Le trafic reprend à Marseille et Nice


Le trafic reprenait au ralenti dans les aéroports de Marseille et Nice, après leur réouverture en milieu d'après-midi par la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), selon des sources aéroportuaires. A Marignane, 11 vols au départ et 11 à l'arrivée étaient prévus jusqu'à minuit, selon un porte-parole de l'aéroport Marseille Provence. Il s'agit de vols au départ ou en provenance de Corse, et de charters au départ ou en provenance du Maroc et de la Tunisie, où des vacanciers étaient restés bloqués.

"Ce n'est pas parce que l'aéroport a rouvert que tous les vols ont repris. Pour ceux réservés aujourd'hui et demain, les voyageurs doivent se renseigner auprès de leur compagnie pour savoir si leur vol sera opéré ou pas", a souligné le porte-parole. Il n'était pas prévu, pour l'instant, d'accueillir des vols déroutés depuis des destinations plus lointaines. "On peut accueillir des passagers, à la condition que leur avion reparte illico et ne reste pas en parking, sinon il va gêner notre propre trafic", a ajouté le porte-parole.

A Nice, le trafic ne reprenait aussi que très partiellement, avec cinq vols prévus à l'arrivée et cinq au départ jusqu'à minuit. Les avions arrivent de Corse, Tunisie et Rome, et repartent d'où ils viennent. Ces vols étaient prévus et n'ont pas été déroutés. Le trafic devrait être assuré à 70% lundi, selon une porte-parole de l'aéroport. Dans l'après-midi, à l'aérogare niçois, des voyageurs attendaient dans l'espoir de prendre un vol dans la soirée, d'autres optant pour le système D et la route.

"Les gens n'hésitent pas à prendre les voitures à n'importe quel prix", a confié une loueuse chez Avis. Dans une autre agence de location, un véhicule a été louée 1.160 euros à un voyageur souhaitant se rendre à Vienne (Autriche).

Les taxis étaient pour la plupart désoeuvrés, mais quelques uns ont décroché la timbale: "on a un taxi parti à Amsterdam, deux à Barcelone", a souligné Fabrice Cavallera, assis avec ses collègues à l'entrée du Terminal 1. A 2,20 euros le kilomètre, le jeu en vaut la chandelle!

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dimanche 18 avril 2010

Un nuage plane sur les people

Le nuage de cendres venu d'Islande bloque des millions de voyageurs, dont quelques célébrités.

Tandis que des millions de voyageurs sont bloqués à cause du volcan islandais, de nombreuses personnalités du spectacle ont dû déployer des trésors d’imagination pour rallier leurs destinations.

La chanteuse américaine Whitney Houston a dû prendre un ferry depuis la Grande-Bretagne pour l'Irlande, où elle donne une série de concerts.

En rade à Oslo, l'ex-Monty Python John Cleese, légende de l'humour britannique, a pris un taxi pour Bruxelles, à 1.500 kilomètres de là, pour la modique somme de 3.800 euros, selon une télévision norvégienne.

Des personnalités françaises ont dû prendre leur mal en patience également. L'actrice Josiane Balasko est depuis vendredi soir dans l'impossibilité de quitter Shanghai, où elle participait à un festival du cinéma français.

En Grèce, pour le festival du film français d'Athènes, Jean-Paul Gaultier va devoir prolonger son séjour, tout comme Stéphane Bern, Antoine de Caunes, Jane Birkin et le cinéaste Joann Sfar…

Le chanteur Mika a quant à lui annulé son concert prévu vendredi soir à Lisbonne. "Je n'aurais jamais pensé devoir annuler un show à cause d'un volcan" s'est amusé l'artiste selon Ozap.

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Privés d’avion, les voyageurs se ruent sur les voitures de location, les ferries, les taxis voire les trains

Le malheur des uns fait le bonheur des autres, si l’aérien fait grise mine, les autres modes de transports sont pris d’assault par les voyageurs en détresse comme ici à Paris avec les locations de voitures.

Même s’il faut compter entre 800 et 900 euros pour louer un véhicule durant une journée et le laisser dans un autre pays, cette touriste américaine n’a pas eu le choix

“Nous étions à Paris depuis 4 jours. Nous devions rentrer aux Etats-Unis aujourd’hui à 11h mais notre vol a été repoussé à vendredi prochain. Nous avons donc loué une voiture et prolongé nos vacances. Elles vont durer trois semaines au total au lieu de 10 jours”.

“On a loué une voiture à Madrid pour aller à Irun, je ne sais plus le nom de la ville puis on a prix un taxi pour aller à Biarritz. Et de Biarritz on a loué une autre voiture pour aller à Paris et moi je suis arrivé ce matin à 8h”, raconte cette française.

Certains préfèrent le train, enfin quand il n’y pas de grève ou de perturbation.

A Calais, dans le nord de la France, ce sont les ferries vers le Royaume-Uni qui font le plein : “C’est ma soeur qui va accoucher et qui est à l’hôpital maintenant et moi je pars en bâteau pour ça”, relate cette passagère.

“On devait rentrer en avion mais ce n’est pas possible. Alors on doit aller de Calais à Lille et de Lille à Bruxelles et de là il y a un bus qui vient nous rattraper de l’Italie”, explique cette femme.

Autres grands gagnants de la pagaille aérienne, les taxis. Ils sont ultra solicités même pour des trajets très longs comme Oslo-Bruxelles, Bruxelles-Francfort ou Bruxelles-Londres.

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samedi 17 avril 2010

Le nuage menace l’AÉROPORT NICE CÔTE D’AZUR


Inexorablement le nuage de cendres crachées par le volcan d'Islande se rapproche de la Côte d’Azur et alors que l’aéroport Bordeaux-Mérignac vient de fermer, que l'autorité de l'aviation civile italienne (Enac) annonce qu'elle ferme tous les aéroports du nord, Milan, Turin, Venise etBologne jusqu'à lundi matin 8 heures on ne voit pas comment l’aéroport NICE CÔTE D’AZUR pourrait rester ouvert. Surtout si l’on consulte la carte des particules de roche volcanique qui se déplacent à 11 km d'altitude sur le site http://www.radarvirtuel.com/ !
Les déclarations du secrétaire d'Etat aux Transports,Dominique Bussereau, demandant aux tour-opérateurs de «prendre leurs responsabilités» en décrétant que leurs problèmes n’étaient « pas l'affaire du gouvernement», a déclenché l’ire des voyagistes qui dénoncent un «électoralisme de bas étage». Le patron du tour-opérateur Voyageurs du Monde, Jean-François Rial, a été particulièrement clair expliquant que « Dire que ce sont les voyagistes qui doivent assumer les coûts au bout du monde du client bloqué ou des remboursements intégraux pour tous ceux qui ne peuvent pas partir, n'est justifié ni sur le plan juridique ni sur le plan commercial, ni sur le plan moral» alors que les événements actuels relèvent du cas de force majeure et que « Si on appliquait les recettes de M. Bussereau, c'est très simple: si cela dure 15 jours, l'ensemble des voyagistes feront faillite».
Il faut donc trouver des solutions d’urgences pour rapatrier un nombre, non connu mais que l’on évalue à 100 000 (!), de Français bloqués à l'étranger car plus on attend plus la note sera salée selon le Ceto (Association nationale des tour-opérateurs).
La solution était pour ces compagnies de tout mettre en oeuvre pour faire revenir leurs clients sur les aéroports encore ouverts dans le sud de la France.
À condition d’aller plus vite que le nuage ou de voler sous les cendres comme l'ont fait les forces aériennes de l'armée française qui ont redéployé leurs avions de combat et de transport dans le sud de la France, pour conserver une permanence d'urgence opérationnelle.

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A l'aéroport de Roissy, le calme règne malgré les annulations de vol

A Roissy-Charles de Gaulle, qui devrait fermer à 23H00, les passagers accueillaient jeudi soir dans le calme les informations des vols annulés ou avancés en raison de l'éruption du volcan islandais.

Sur les écrans d'information des terminaux 2E et 2F, les vols à destination d'Amsterdam, Oslo ou encore Londres sont annulés. Des messages en français et en anglais sont diffusés informant les passagers que pour des raisons météorologiques le trafic est perturbé.

Quelques vols programmés après 23H00 ont été avancés. Le vol pour Tokyo a été avancé à 22H00, obligeant un groupe de touristes japonais à quitter leur hôtel parisien plus tôt, selon leur guide français.

Les vols pour Buenos Aires et Johannesburg ont également été avancés.

"Je devais partir pour Dubaï à 23H20. J'ai reçu un SMS d'Air France à 17H00 me prévenant que le vol était avancé à 21H50", explique Cécile, 45 ans.

Avec sa fille elle a sauté dans un taxi dans l'Essonne pour arriver à l'heure. C'est en chemin, à la radio, qu'elle a su pourquoi son vol était avancé.

"Il paraît qu'il y a un volcan en éruption et que le nuage empêche les avions de voler", explique à quelque mètres de là un voyageur le téléphone portable collé à l'oreille.

Dans les flash info diffusés dans l'aérogare par les aéroports de Paris défilent les images de l'éruption volcanique et des aéroports londoniens fermés.

Mais la plupart des voyageurs n'étaient pas concernés par les annulations de vols. Guillaume et Carole en partance pour Rome ont "entendu parler de l'éruption, à l'accueil en enregistrant les bagages". Pour eux, l'essentiel est que le vol de 20H15 pour Rome n'est pas annulé.

David Tate, étudiant anglais venu passer quelques jours à Paris, a vu son vol pour Londres annulé. Il compte essayer de "rentrer en train ou dormir une nuit de plus à Paris".

"Un vol annulé à cause d'un volcan, c'est plus drôle qu'à cause d'une grève", s'amuse une voyageuse. "Tous les vols pour Dublin sont annulés donc là, je ne vais pas partir", annonce par téléphone à son collègue un homme d'affaires qui se dirige vers un taxi.

L'énorme nuage de cendres craché par un volcan d'Islande qui a cloué au sol une bonne partie des avions dans le nord de l'Europe n'a visiblement pas perturbé les voyageur, plutôt compréhensifs.

Taxis : une profession menacée


La station taxi de la ville compte huit chauffeurs. Leur carte professionnelle est un gage de sérieux et de professionnalisme malgré une concurrence de plus en plus accrue. : Photo Philippe Arnassan

Les taxis dracénois ont-ils le blues ? Oui, nous répondent les concernés. « Notre profession évolue depuis des années mais pas à notre avantage », confie un professionnel. Plusieurs raisons permettent d'expliquer ce mécontentement.

La particularité dracénoise

La ville ne compte qu'une station de taxis, où huit professionnels en exercice se partagent les courses. « Notre station est trop excentrée par rapport au coeur de la ville », avance Didier, en place depuis quatre ans. Un éloignement de l'épicentre dracénois que réfute, l'élue au domaine public, Encarnacion Martinez : « ils sont bien là où ils sont, à côté de l'office du tourisme, c'est un lieu stratégique ». Les usagers boudent pourtant ce moyen de transport, réputé trop onéreux. Le transport médical, reste la principale ressource financière pour les taxis de la ville. Une situation étonnante dans un secteur touristique comme la Dracénie. « 90 % de nos trajets ne concernent que des personnes médicalisées, on travaille en relation avec les sociétés d'ambulance », explique Frédéric, taxi dracénois depuis seize ans. De plus, les personnes âgées qui avaient le réflexe d'appeler un taxi, ont changé leurs habitudes depuis la mise à leur disposition, par la ville, de minibus. « Pour se rendre à la gare des Arcs, cela ne coûte que quelques euros avec le bus, les particuliers font appel à nous qu'en dernier recours », constate Didier.

Une concurrence accrue

Une société de transport privé a vu le jour, il y a un an et demi. Spécialisée dans le transport médical et privé, la cohabitation avec les taxis a connu des débuts difficiles. « Je suis clairement l'homme à abattre. Sur les trois derniers mois, j'ai connu une hausse de 25 %. Je possède 8 véhicules aujourd'hui. En 2011, je souhaite en avoir quinze », affirme Richard Jacquot, gérant de la société. Des sociétés comme celle de ce jeune entrepreneur de 28 ans, fleurissent aux quatre coins de la Dracénie. « Le statut d'auto-entrepreneur a vu naître un grand nombre de sociétés de services de transports qui nous ont causé du tort »,poursuit un de ces seigneurs de la route.

Une licence à 200 000 euros

Pour posséder la carte professionnelle, les taxis doivent s'acquitter d'une licence à un coût avoisinant les 200 000 euros. Un emprunt conséquent, qu'il faut rentabiliser. Les sociétés de transport médical, n'ont pas besoin d'une licence, seule une convention suffit. « Nous avions manifesté l'an dernier, lorsque la libéralisation de notre profession était envisagée. Je me bats tous les jours pour éviter une mort annoncée de notre profession », prétend Frédéric. Pour Encarnacion Martinez, il y aurait presque bousculade au portillon, avec « des intéressés sur liste d'attente et des repreneurs de licence prêts à débourser des sommes équivalentes au prix d'une maison ». Alors crise de la profession ou pas ? « De toute façon, à cinquante ans, je ne vois pas ce que je pourrais faire d'autre », conclut l'un d'entre eux.

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